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Cinéma d'auteur exigeant mené par des personnalités hors
du commun, comédies romantiques ou vaudevilles d'une rare médiocrité,
policiers (boïeviki) de très mauvais goût, films de
propagande sur la Tchétchénie, films à grand spectacle de bonne facture,
voici quelques uns des visages du cinéma russe actuel. |
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MIFF
2005
Le principal
festival russe
Liki Liubvy 2003 L'incontournable
Festival du printemps
Cinéma russe en vedette à la Mostra de
Venise. Retour sur la scène internationale ?
Entretien avec le directeur de la
programmation du MIFF 2002
Les
découvertes et sensations du MIFF
2002
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MIFF
L'incontournable festival International de Mikhalkov, l'équivalent russe de Cannes
Liki Liubvy
(visages de l'amour). Le pendant hivernal du MIFF
Nika
Consacré au cinéma russe : sortes de Césars local.
Stalker
Films évoquant les Droits de l'homme. Nombreuses
premières
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films russes sortis en
France
Kinoglaz
Salle art&essai
Muzeï kino
Actu :
film.ru
kinobusiness
drugoe kino
filmdata
2 grands studios :
Mosfilm
Lenfilm
catalogue complet des films russes
Kinoros.ru
IMDB
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Les films de 2005
Les
films de 2004
Les
films de 2003
Les
films de 2002
et aussi des articles sur :
NEW !!! Litchny Nomer
(Evgueni Lavrentiev)
Vozvrachenie (Alexander
Zviagintsev)
Progulka (Uchitel)
Chic (Bachtier Khoudoïnazarov)
Roussky kovcheg (Alexander Sokourov)
NEW !!!
Voïna (Alexeï Balabanov)
Zaimiomsia lioubouviou (Denis Evstigneev)
Kopeika (Dykhovitchny)
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Injustement contenu dans ses frontières, le cinéma russe actuel recèle des
perles. Le plus souvent dans une veine réaliste portée par un puissant
souffle humaniste. Loin des névroses de couples bourgeois défoncés au
Prozac qui saturent le cinéma français "d'auteur", le cinéma russe pointe
souvent avec justesse et force les problèmes sociaux cruciaux,
heureusement sans jamais tomber dans un moralisme didactique ou un
militantisme éculé. Avec de petits budgets et des acteurs toujours
doués, les réalisateurs russes abordent tous les sujets que
le médias russes n'osent évoquer. Avec une liberté de ton et un courage
rare ; des opérateurs nourris des images d'Eisenstein, Vertov et Parajdanov.
Dans une veine plus fantaisiste et poétique, quelques auteurs cultes
expérimentent des formes qui n'ont rien à envier au cinéma indépendant
américain. |
